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situation de crise ville de rosny et expulsion 21 rue des 2 communes

5 mai 2019

ou en est on 5 mois après des expulsions décidées par monsieur la MAIRIE DE ROSNY SOUS BOIS ? sur la résidence des deux communes

ou en est on 5 mois après des expulsions décidées par monsieur la MAIRIE DE ROSNY SOUS BOIS ? sur la résidence des deux communes
Plusieurs copropriétaires de la residence des Deux communes craquent, et dénoncent une procédure alambiquée de la part de la mairie de rosny sous bois. Bléssés moralement depuis novembre 2018 et en difficultée financière plusieurs copropriétaire réclament...
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5 mai 2019

ROSNY 5 MOIS APRES TOUJOURS L ATTENTE!!!!!

Rosny : après l’évacuation, l’attente

>Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis|Hélène Haus|25 novembre 2018, 12h40|0
Rosny, samedi 24 novembre. Marek, propriétaire, et Patrick, locataire, sont hébergés par la commune dans un vestiaire d’un équipement sportif. LP/H.H.

Deux jours après l’évacuation de la copropriété dégradée du 21, rue des Deux-Communes, les habitants espèrent trouver une solution de logement rapidement.

De puissants néons éclairent les quatre lits de camp noirs séparés par des petits paravents, qui peinent à préserver l’intimité de chacun. « Ce n’est pas l’hôtel, mais ce n’est pas trop mal. On est au chaud et on nous donne de quoi manger, ça aurait pu être pire », concèdent Marek et Patrick.

Ces deux hommes font partie des habitants du 21, rue des Deux-Communes à Rosny-sous-Bois hébergés en urgence par la mairie, après l’évacuation éclair jeudi de leur copropriété dégradée. A la suite de deux rapports d’experts mettant en avant des risques d’effondrement, le maire (LR) Claude Capillon a pris jeudi un arrêté de péril imminent sur ces six bâtiments de quatre étages construits en 1920 et divisés en 101 petits logements qui abritaient une centaine de personnes.

 

 

« Tout s’est passé trop vite »

Les résidents n’ont eu que 24 heures pour quitter les lieux, désormais murés et surveillés par un service de sécurité. Si une trentaine d’hommes seuls sont hébergés par la ville dans les vestiaires d’un équipement sportif, la commune a payé à la dizaine de familles des nuits d’hôtel.

« Tout s’est passé trop vite », regrette Patrick, qui louait depuis trois ans un deux-pièces « vivable » pour 580 € par mois. Cet employé de mairie est encore en état de choc : « les forces de l’ordre ont frappé chez nous jeudi matin en nous disant de partir. On aurait dit que l’immeuble allait nous tomber sur la tête d’une seconde à l’autre ! Je ne sais pas où je vais aller et, en plus, je dois récupérer mes affaires », s’inquiète-t-il, reprochant aux autorités d’avoir agi dans la précipitation. « Le premier arrêté de péril, pris en avril 2018 prévoyait l’évacuation des lieux d’ici avril 2019, ce qui laissait du temps aux habitants, mais là, face à la dangerosité du site, nous n’avons pas eu le choix », estime Claude Capillon.

Les propriétaires indemnisés

Marek, lui, est dans une situation encore plus délicate. Il compte parmi les rares propriétaires - trois d’après la mairie - qui vivaient sur place. Il avait acheté un 24 m2 80 000 € en 2012, sans compter les frais de notaire et les intérêts bancaires. « L’Etat a prévu de racheter les logements, mais tout cela risque de prendre quelques mois. Les propriétaires occupants seront mieux indemnisés que les non-occupants chez qui l’on compte un certain nombre de marchands de sommeil », déplore l’édile.

« Je ne sais pas où je vais pouvoir acheter un appartement avec mon budget », s’inquiète déjà Marek, très critique envers la gestion des syndics de la copropriété. « C’est à relativiser, pondère le maire. Si l’ancien syndic a mis la clé sous la porte sans rembourser les avances faites par les propriétaires pour les travaux, le dernier était honnête et leur a reversé 400 000 € suite à l’arrêté pris en avril. »

La mairie envisage de saisir la justice

Après la publication de l’arrêté de péril imminent jeudi, la ville a tenté de joindre les propriétaires pour qu’ils se chargent de reloger leurs locataires comme l’exige la loi. « Aucun n’a fait de proposition, décrit Claude Capillon. Or, au-delà de 24 heures, c’est à la ville de prendre le relais pour les héberger, mais nous envisageons des actions en justice. »

Des rendez-vous doivent être fixés ce lundi avec les habitants pour leur permettre de déménager leurs affaires, qui seront stockées en attendant une solution pérenne d’hébergement. « On va essayer de reloger les gens au plus vite, on a une trentaine d’appartements identifiés, d’autant qu’avec cet arrêté, ils sont prioritaires pour les logements sociaux, explique le maire. Ceux sur Rosny seront donnés en premier aux familles comptant des enfants scolarisés. »

 

 

La copropriété évacuée a été murée
-
LP/H.H.

 

5 mai 2019

les copropriétaires ont le sentiment que la mairie n'a que faire de leurs considérations !!!

 

 

                       reunion_mairie_21_nov_18

 

REUNION DEVANT L HOTEL DE VILLE DE ROSNY SOUS BOIS

OU MONSIEUR LE MAIRE RECEVAIT UNE DELEGATION DE PROPRIETAIRE ET LOCATAIRES SUITE A L EVACUATION MANU MILITARI DE LEURS APPARTEMENTS

 

5 MAI 2019 – plusieurs locataires sans solution et aucun copropriétaires n’a vu sa situation débloquée

Pire la procédure administrative piétine avec de nombreuses irrégularitées , ce n’est pas sérieux !!

La detresse des citoyens et propriétaires n’interesse peu voire pas du tout !!! seul la récupération des terrains importe pour le grand projet de la ville de rosny …qui est retardé ?!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

5 mai 2019

les habitants et copropriétaires reçus sur le parking de la mairie avec la promesse que seront trouvées des solutions pour tous

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